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La barre Renoir n'est plus
Après le nuage de poussiéres, les gravats


 
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ça y est l'épais nuage blanc s'est dissipé, et laisse voir les bâtiments avoisinants intacts après l'explosion.
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L'immeuble a laissé place à un énorme tas de gravas.
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Les badaud ne peuvent s’empêcher de venir voir de prés, peut-être pour y croire vraiment.
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Le chantier d’enlèvement des gravas peut commencer.
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La barre Renoir n'est plus.
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Tout est en place, le Maire de la ville, G. Poux peut « appuyer sur le bouton ». L’émotion est grande, les habitants, les personnalités, les fonctionnaires ayant travaillé à cet événement, toute cette foule retient son souffle. Je suis alors sur la terrasse de l’immeuble où se trouvait les bureaux de l’ophlm, poste de sécurité avancé pour l’opération. C’est parti ! C’est un château de cartes qui tombe sous nos yeux en quelques secondes, laissant derrière lui un épais nuage blanc de fumée. Comme par magie, l’immeuble s’effondre sur lui-même, sans basculer d’un côté ou de l’autre et ne causant pas de dommages sur les bâtiments proches (centre culturel, centre commercial, immeubles) sans aucun doute grâce au savoir faire de l’entreprise de démolition. Une fois l’épais nuage blanc dissipé, les ballons s’envolent et les habitants ont besoins de se rendre sur place pour y croire. Une page se tourne, avec en vue un projet de réhabilitation global du quartier situé en ZUS, réhabilitation du centre commercial et du mail, construction de nouveaux logements à taille humaine.Ces constructions des années 60 ont répondus à un besoin de logement « sain » (soleil, salle de bain,sanitaire,cuisine,vide-ordure, ascenseur…), à une époque donnée, où certains vivaient encore dans des cabanes en tôle ondulée. Ces logements apportaient le luxe et la propreté, mais la société a évoluée ainsi que les habitants et l’empilement n’était plus en adéquation avec les nouveaux mode de vie et les difficultés économiques. Quelques années après, les barres Ravel et Présov devaient suivre le même destin….


* Diaporama ci-dessous.

 
   
 

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ça y est l'épais nuage blanc s'est dissipé, et laisse voir les bâtiments avoisinants intacts après l'explosion.
Les ballons s'envolent.
L'immeuble a laissé place à un énorme tas de gravas.
Les badaud ne peuvent s’empêcher de venir voir de prés, peut-être pour y croire vraiment.
Le chantier d’enlèvement des gravas peut commencer.
La barre Renoir n'est plus.



 
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